Parry n'a pas tué. Mais les apparences sont contre lui, et le juge le condamne a la détention perpétuelle. Mal nourri, sans femme, sans gin, sans foyer, loin des lumieres étincelantes, des foules et de tout ce qu'il aime, il ne lui reste plus qu'a attendre la vieillesse en contemplant les barreaux de sa cage.
Mais il refuse de se soumettre et s'évade, engageant une bataille désespérée et solitaire contre le destin, contre la peur, contre les flics et les mouchards, contre les maîtres chanteurs et les bons citoyens.